Compagnie Discrète
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JOUR 9

JOUR 8 - Rencontre avec Evelyne Charlon - [Août 2023]

​« Ici Anaïs, cheffe de bord du Cahier d’exploration polaire et poétique. La température extérieure est de -12,2°C, ce qui ici est un peu chaud pour la saison. […] En décembre 2022, j’ai entrepris un voyage avec la Compagnie Discrète et, parce qu’il risque d’être beau, j’aimerais vous le raconter. Objectif : une nouvelle création en novembre 2023. Accrochez-vous à vos moufles et bonnets ! Pour vous, je vais prendre tous les risques et me rendre au plus près de l’IJSBERG... »

Anaïs Andos, cheffe de bord : Salut Evelyne ! Tu es officiellement administratrice de la Compagnie Discrète depuis 2018. Quel âge as-tu ?
 
Evelyne : J’ai 68 ans.
 
Comment as-tu fait la rencontre d’Adrien et Alexandre ?
Je les connais depuis le moment où ils ont créé la compagnie, en 2014. Nous nous sommes rencontrés par l’intermédiaire de Didier Girauldon - de la Compagnie Jabberwock - qui avait été l’un de leur professeur au Conservatoire et avec qui je commençais ma collaboration. De 2014 à 2016, sur les conseils de la Région, la Cie Jabberwock a « porté » la Cie Discrète en administration et en conseils dans les décisions de leur structuration. En 2018, ils sont venus me voir à Grenoble et nous avons décidé de retravailler ensemble.
 
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Quel parcours t’a mené jusque-là ?
J’ai d’abord travaillé dans une usine de fabrication de volants de voiture, puis j’ai tenté les concours d’administration publique, ce qui m’a amené à travailler dans plusieurs directions à la Ville de Lyon : la police municipale, les finances puis, en septembre 2000 après une année de Licence en administration publique à l’IEP de Lyon, j’ai rejoint Les Subsistances, encore en régie municipale. C’est à partir de là que j’ai mis mes compétences de gestionnaire au service du culturel. C’était passionnant de lier les deux milieux : la culture et l’administration. En 2003, j’ai rejoint le Théâtre des Célestins, en 2012 le CDN des Alpes, en 2015 le CDN de Montluçon et en 2018, le Nouveau Théâtre Sainte-Marie-d’en-Bas. Je travaille également, depuis 2014, en freelance pour des compagnies culturelles.
 
Que fais-tu au quotidien et qu’est-ce qui te plaît le plus ?
Je m’occupe de l’administration générale, c’est-à-dire les budgets, la trésorerie, la recherche de financements, le social, la comptabilité, les suivis de production, les bilans d’activité… Ce que j’aime particulièrement, c’est le moment où les artistes décident de rentrer en création. C’est un cheminement que j’adore. Même si je ne suis pas artiste, c’est comme une naissance ! Le premier moment où j’interviens est celui de la recherche de financements et c’est passionnant.
 
De ton point de vue, c’est quoi Ijsberg ?
Ils abordent une thématique qui leur est chère : l’environnement. Alex et Adrien ont envie de faire passer un message et je trouve que cela se ressent encore plus que dans leurs précédents spectacles. Ils parlaient déjà d’Ijsberg en 2018, à la fin de la création d’Horizon… 
 
Jusqu’ici dans la création d’Ijsberg, as-tu vécu un moment particulièrement marquant ?
En live, pas encore ! Je viendrai à Tours en novembre pour la création et j’attends ce moment avec impatience… Quand j’étais aux Célestins, il y a un moment que j’adorais, c’est celui où je quittais mon bureau pour me rendre au paradis du théâtre et suivre les répétitions… C’est ce qui me manque le plus aujourd’hui dans le choix que j’ai fait de ne pas travailler à Tours. C’est une frustration de ne pas pouvoir vivre les instants de création !
 
Peux-tu me raconter un souvenir positif que tu as avec la nature ?
J’ai accueilli un naturaliste en Airbnb. Il m’a présenté l’oiseau qui était dans mon jardin : une huppe fasciée. C’est un magnifique oiseau migrateur d’Afrique qui a un cri très particulier. Je l’ai rencontré une première fois en 2021, mais il n’est pas revenu en 2022... Cette année, il était de retour ! Il est venu taper à ma fenêtre pendant plusieurs jours. Je ne suis pas superstitieuse mais on dit que c’est un oiseau porteur de bonnes ondes.
 
Le mot de la fin ?
« Pourvu que ça dure ! » c’est mon message d’espoir.
 
Anaïs, cheffe de bord du Cahier d’exploration polaire et poétique

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Illustration - Jessica Fournier Doret
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